Damien 64 – Pierre (1)

Je fus réveillé par une voiture qui entrait dans le parking, en me levant je vis que j'avais l'anus toujours douloureux et très gonflé parce que je ne pouvais pas encore marcher normalement.
Après m'être passé de l'eau sur le visage, j'allai voir les panneaux à la sortie du refuge qui m'apprirent qu'une cafétéria était à 2 kilomètres, sans hésiter je me mis en route.
Le trajet dura 2 heures vu que je cheminai lentement, après m'être restauré je me dis que le mieux était de rentrer à la maison, pour ça il fallait encore faire du stop.
Environ 1 heure après une RENAULT 19 s'arrêta, elle était conduite par un homme bon chic bon genre d'une quarantaine d'années, il me dit de monter et démarra.
Au bout d'un moment mon conducteur me dit "Je me présente, je m'appelle Pierre. Et vous ?
- Damien.
- Vous venez de loin ?
- de MARSEILLE, un routier m'a conduit jusqu'à la cafétéria car il sortait là.
- Je vois. Vous fumez ?
- Volontiers.
- Tenez, prenez.
- Merci.
- Vous avez l'air fatigué.
- Oui, le camion n'était pas très confortable.
- Si vous voulez vous reposer, vous pouvez passer à l'arrière je sais ce que c'est, car j'ai aussi fait du stop dans ma jeunesse.
- Ce n'est pas de refus, je vous remercie.
- Mais de rien voyons".
Je m'installai sur la banquette et sombrai dans un sommeil profond.
Quand je m'éveillai, nous étions plus qu'à une centaine de kilomètres de PARIS, comme je baissai les yeux, je vis par terre une revue homo, sans rien dire je repassai devant, mon compagnon me demanda "Alors ça va mieux ?
- Oui, ça m'a fait du bien.
- Je n'en doute pas, mais quand j'y pense il ne devait pas être super le bahut que vous avez pris.
- Non pas vraiment.
- Dites-moi, et si vous me disiez la vérité. Hein ?
- Mais c'est la vérité. Et d'abord pourquoi ces questions ?
- Parce que tout à l'heure je n'y ai pas cru à ton histoire alors pendant que tu dormais, je t'ai déculotté et voyant dans quel état est ton cul, j'ai vite compris que ce n'étais pas le voyage qui t'avait crevé mais la bite de celui qui conduisait.


- Mais, c'est un comble. De quel droit ?
- Tu sais quand tu es monté, j'ai tout de suite vu que tu étais pédé, tu sentais le foutre et la pisse et comme moi aussi je suis homo, j'ai voulu savoir de quel bord tu étais !
- Mais enfin, pourquoi ?
- Parce que, tu me plais, j'aimerai bien passer une nuit avec toi.
- Ça ne veux pas dire que moi aussi je veux.
- Non bien sur, je n'ai pas l'intention de te violer, je te le demande.
- Je ne sais pas.
- Ne t'inquiètes pas, j'ai chez moi ce qu'il faut pour soulager ton petit trou, et tranquillise-toi je ne suis pas un sadique.
- Ce n'est pas ça, il n’y avait aucun sadique, simplement ils étaient vingt, ils m'ont baisé toute la nuit, ils m'ont fait jouir comme pas possible et pour finir ils m'ont tous pissé dessus mais j’étais d’accord.
- Eh bien on peut dire que tu tiens le coup toi, alors viens- tu avec moi ?
- Si tu me promets d'être doux et gentil avec moi parce que là j’ai besoin de douceur.
- Bien sur, je te l'ai déjà dit.
- Dans ce cas d'accord, tu verras tu ne seras pas déçu de moi".
Deux heures après nous arrivâmes chez Pierre, il habitait un pavillon à PONTOISE nous entrâmes, l'intérieur était coquet et très propre, me prenant par le coude il me guida vers le salon et me dit "Je vis ici tout seul depuis mon divorce.
- Ah tu étais marié.
- Oui mais le jour où ma femme a découvert que je m'intéressais aux garçons le divorce fut aussitôt demandé pour ne pas faire de scandale nous avons réglé ça à l'amiable. Ici je suis tranquille, les voisins sont assez loin ce qui fait que je peux recevoir mes conquêtes sans problème.
- C'est sur.
- Veux-tu boire quelque chose ?
- Oui je veux bien.
- Un petit whisky ?
- O.K".
Il nous servit et nous bûmes en silence, après avoir fini nos verres, Pierre se leva et me dit "Viens allons dans la salle de bains, tu vas prendre un bain et après je te soignerai".

Le contact avec l'eau chaude me fit du bien, une fois propre et séché, Pierre me fit allonger sur le lit à plat ventre, il revint avec toutes sortes de produits qu'il m'appliqua sur les fesses, la raie et l'anus.
Quand il eut fini, il me dit "Tu peux te relever, tu verras dans une heure tout sera redevenu normal, ce sont des remèdes anciens à base de plantes mais qui sont plus efficaces que tout ce qu’on peut trouver sur le marché.
- Merci, c'est gentil.
- Non, c'est naturel.
- Je t'assure que tout à l'heure tu ne le regretteras pas.
- Ça par contre, j'y compte bien. Tiens prends cette nuisette ainsi que cette petite culotte et couvre-toi. Au fait la seule chose que je ne t'ai pas dit, c'est que quand je couche avec un homme, j'aime qu'il soit habillé en femme, je ne pense pas que ça te gène.
- Pas du tout car si on regarde les choses en face, qu'est-ce que je fais dans un lit, c'est bien la femme, alors être vêtu en femme me parait à la limite logique.
- C'est parfait, bon je vais t'abandonner quelques minutes, je vais me doucher, reprends un verre si tu veux.
- D'accord, à tout de suite.
- A tout de suite ma puce".
Un quart d'heure après Pierre réapparut, il était vêtu d'une robe de chambre bleue nuit, il s'assit à mes côtés après s'être servi un verre et me dit "Alors comment vois-tu cette nuit ?
- Je ne sais pas, on va faire l'amour c'est sur, mais à part ça, je ne sais quoi te dire.
- AH AH !!, eh bien moi je vais te dire le programme, c'est vrai qu'on va faire l'amour mais nous allons aussi aller au restaurant et danser ce soir. Alors que dis-tu de ça ?
- Génial.
- Au fait et toi dans la vie que fais-tu et vis-tu avec quelqu'un ?
- Pour ce qui est de ta première question, je suis informaticien mais je vis seul papillonnant entre mes divers amants.
- Tu as beaucoup d’amants ?
- Pas mal mais aucun à qui je suis particulièrement attaché, pour la plupart ce sont des copains à qui je me suis offert.
J’ai eu une autre vie quand je vivais au Maroc mais c’est du passé.
- Comment as-tu su que tu étais homo ?
- Au début j’étais hétéro mais un jour j’ai été séduit pas mon prof de gym et là ce fut l’émerveillement, j’ai su que j’étais fait pour les amours homo en tant que passif essentiellement.
- Et donc tu as eu des amants là bas ?
- Oui je pense avoir tout fait là bas, j’ai partouzé et plus j’en avais plus j’en voulais, j’ai baisé avec un nombre incalculable de mecs. A l’armée je me suis fait tringler par toute ma chambrée pendant presque toute l’année, au retour de l’armée je suis parti en Afrique noire, chercher des bites toujours plus grosses. Quand je suis rentré en France j’ai continué à faire, avec des blacks, des plans cul de folie puis je me suis rendu que cette fuite en avant ne me menait nulle part, ce n’était plus du plaisir mais des baises bestiales. Quand je le suis décidé d’arrêter, j’ai consulté un médecin qui m’a mis en garde, au train où je me faisais culbuter bientôt mon cul serait démoli définitivement. Devant cette perspective, je me suis arrêté quelque mois le temps que mon cul redevienne normal puis je me suis mis à baiser normalement me consacrant au plaisir, comme je te l’ai dit la plupart du temps avec des copains.
- Les routiers c’était des copains à toi ?
- Non ! J’étais en manque et j’avais simplement envie d’un homme, ce qui a été le cas au début mais quand j’ai vu qu’il avait, je ne sais par quel moyen, alerté ses copains je me suis retrouvé dans le cas où une tournante ne se refuse pas et j’avais très envie de me faire défoncer le cul et la bouche. Mais encore ce ne fut que bestial pas d’amour que de la baise.
- Je comprends mais tu ne préférerais pas une vie tranquille avec un homme à tes côtés.
- J'avoue que par moments, j'aimerais bien mais peut-être que je n'ai pas trouvé encore ce qu'il me faut.
- Et si moi je te le propose ?
- Je te répondrais ni oui ni non, mais simplement qu'on ne se connaît pas assez pour envisager la vie commune, par exemple on n’a pas encore couché ensemble.

- C'est vrai, mais suppose qu'on s'entende bien au lit ?
- Le sexe est important mais ce n'est pas tout dans la vie, il faut pouvoir se supporter au quotidien et pour ça il faut se connaître bien, en plus un mec n'est pas une femme si il fait l'amour une nuit, le lendemain il ne peut pas aller travailler car on a du mal à marcher après une bonne baise, ce qui veut dire que dans ce cas celui qui fait la femme ne doit plus bosser, au fait je ne t'ai pas dit mais moi je fais exclusivement la femme.
- Super, comme moi je ne fais que l'homme, je n'aurai pas à te branler comme avec les autres. Mais tu sais ce que tu viens de dire est très juste et c'est d'ailleurs comme ça que je vois les choses, moi ma femme reste à la maison.
- Eh bien, apprenons à nous connaître et on verra.
- Mais même un essai tu ne voudrais pas ?
- Non, si tu veux fréquentons-nous quelque temps, essayons de passer quelques week-end ensemble, essayons de nous voir assez souvent et pas simplement pour baiser mais pour faire tout genre de choses que peuvent faire un couple.
- Pari tenu, je suis sur qu'on s'entendra.
- On verra bien. Mais maintenant que tu sais tout de moi, vas tu me dire ce que tu fais et comment tu vis ?
- Bien sur, c'est très simple je suis directeur d’une agence bancaire et je vis seul depuis trois ans, je n'ai pas d's voilà.
- Et toi comment es-tu devenu homo ?
- Ça faisait deux ans que j'étais marié quand je dus partir en déplacement à LILLE, j'étais avec un collègue, le soir pas moyen de trouver deux chambres d'hôtel, on en trouva qu'une avec un lit de deux places, voyant que c'était la seule solution on la prit, après avoir dîné, nous allâmes nous coucher. Dans la nuit je me réveillai, le collègue était couché contre moi les fesses contre mon ventre, en dormant cela m'avait provoqué une érection phénoménale, un peu gêné je m'écartai de lui mais il revint se coller à moi, je me levai et fumai une cigarette tentant de faire disparaître mon excitation, une fois calmé je me recouchai, aussitôt l'autre se remit contre moi, comme nous nous connaissions bien je me résolus à le réveiller, après que je lui eus dit de quoi il retournai, il éclata de rire et me dit que si j'avais envie j'avais qu'à aller jusqu'au bout que pour lui pas de problème il était homo depuis un bon bout de temps. Au début je refusai mais lui taquin posa sa main sur mon sexe tendu, comme dans un état second je baissai son slip et découvris son cul musclé, pendant ce temps il avait glissé sa main dans mon slip et me branlait doucement, il repoussa les couvertures et ôta mon sous-vêtement puis se mit à me pomper la gland. Au bout d'un moment il arrêta, j'étais dans un tel état que j'aurai violé la première personne présente, il se mit à quatre pattes le cul tendu et me dit que si je voulais je n'avais qu'à l'enculer, j'étais troublé par ces fesses offertes au milieu desquelles je voyais pendre une belle paire de couilles. J'étais tellement excité que je n'hésitais pas longtemps je me ruais sur son cul et l'enfilai d'un seul coup de reins, il hurla quand je le pris, je pris peur et voulus me retirer mais il me dit de rester et de le limer, ce que je fis, quand j'éjaculai je ressentis un plaisir beaucoup intense qu'avec ma femme. Nous continuâmes à nous voir avec ce collègue quelques temps mais un jour il fut muté loin d'ici et la belle aventure prit fin, pendant plusieurs moi je gardais la nostalgie de ce cul superbe et un jour je me dis que si j'enculais ma femme ce serait pareil, ce ne fut pas facile de la convaincre de se laisser prendre par le trou de balle mais à force de persuasion j'arrivai à mes fin, seulement ce fut une déception, il n'y avait aucune comparaison alors je me mis en quête d'un remplaçant à celui qui était parti et un jour je le trouvai, c'était un coursier, nous passâmes 2 ans superbes jusqu'au jour où ma femme rentrant à l'improviste dans mon bureau me trouva en train de sodomiser le jeune homme, voilà mon histoire.
- Mais qu'est devenu le coursier ?
- Il prit peur et démissionna et partit en province, depuis je vis d'aventures passagères.
- Qui apparemment ne te satisfont pas ?
- Oui, je préférerais avoir quelqu'un toujours avec moi, je gagne suffisamment d'argent pour faire vivre quelqu'un.
- Et c'est pour ça que tout à l'heure tu me l'as proposé ?
- Oui.
- Comme tu dois le proposer à tous ceux que tu rencontres.
- C'est là où tu te trompes, la seule personne avant toi a été le coursier, je ne suis pas fou tout de même.
- Excuse-moi.
- Ce n'est pas grave, viens je vais te montrer la chambre d'amis où sont toutes les affaires de femme car pour aller au restaurant et au dancing, tu devras t'habiller en femme.
- Allons-y".
Nous entrâmes dans la pièce tout y était, du maquillage, des perruques, des bas, des sous-vêtements, des robes, des jupes, des corsages, des chaussures, des sacs à main, des vestes ainsi que des manteaux "J'ai de quoi faire mais il faudra que tu m'accordes une heure pour que je me prépare mais je te préviens je ne me suis jamais travestis, je te demande ton indulgence.
- Pas de problème, je suis sur que tu feras ça très bien, tu sais j'ai envie de toi.
- Moi j'ai très envie que tu me prennes et tes remèdes sont vraiment efficaces car je ne sens plus rien.
- Viens dans la chambre".
Je le suivis, à peine entré il se jeta sur moi et écrasant mes lèvres me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant quand il m'abandonna, j'ouvris sa robe de chambre et me trouvai face à un sexe dressé.
C’était un véritable monstre d'au moins 28 centimètres de long et très gros, voyant la verge triomphante je poussai un petit cri et passai ma langue sur mes lèvres, je tombai à genoux et prenant le phallus à deux mains, j'entrepris de lécher le gland énorme à petits coups de langue rapides, Pierre posa ses mains sur ma tête et me caressa les cheveux tout en se cambrant vers ma bouche gourmande, je ne pouvais pas faire pénétrer le pénis dans ma bouche tellement le bout durci était gros, il avait les dimensions de mon poing, je posai mes lèvres autour de la tête de ce merveilleux priape et du bout de la langue excitait le méat, j'entendis la respiration de mon amant s'accélérer sous cette caresse.
Il me laissa faire un long moment puis me prenant sous les aisselles me releva, il me prit dans ses bras, me déposa sur le lit puis il s'allongea sur moi tête bêche et nous entamâmes un 69 effréné, sa langue pointue m'ouvrit le sphincter puis ses doigts experts me travaillèrent le cul me faisant fondre, je haletais sous ses attouchements lingués et manuels, mes fesses étaient en feu et je me mis à ronronner en envoyant mon bassin à la rencontre de mon amant, il continua à me titiller le fondement tout en me massant légèrement la croupe jusqu'à ce que je supplie de me pénétrer.
Longtemps il continua à m'astiquer jusqu'à ce qu'un orgasme puissant me traverse le corps, j'avais la raie pleine de salive et mon trou criait famine, alors se mettant debout au pied du lit il releva mes jambes me tenant par les chevilles jusqu'à ce que mes genoux touchent presque ma poitrine, dans cette position mon antre béante ressortait, prenant mes jambes d'une seule main il guida son énorme bite contre mon oeillet, j'avais beau être très ouvert je sursautai quand le formidable gland se posta à l'orée de ma corolle, mon amant resta quelques temps sans bouger me laissant m'habi à ses dimensions puis il commença à peser sur ma pastille, à peine le bout de sa tête écarta mes chairs que je poussai un cri de douleur Pierre suspendit son action, l'intromission du gland fut très longue, chaque fois que j'avais mal il arrêtai le temps que la douleur se dilue, quand enfin son fabuleux bout durci fut en moi j'avais les larmes aux yeux, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer tant j'étais écartelé, petit à petit mon amant m'enfila jusqu'à la garde, une fois totalement en moi, il s'immobilisa me laissant m'habi à son calibre monstrueux, au bout de quelques instants je sentis mon anus céder, la douleur faisant place à une douce langueur, je lui dis "Vas-y, défonce-moi".
Il se mit à me posséder lentement m'arrachant à chaque passage de petits cris de souffrance qui peu à peu, au fur et à mesure que ma corolle se décontractait, se muèrent en profonds gémissements, mon homme me ramonait le postérieur de toute la longueur de son impressionnant pénis le sortant presque entièrement de moi et le replongeant complètement au tréfonds de mon tunnel, la tête rejetée en arrière je savourais le plaisir qui prenait possession de mon être par vagues successives, partant de mon bas-ventre et remontant vers mon visage, j'avais le cul dilaté au maximum sous les assauts répétés que cet incroyable priape m'assenait, le corps tétanisé je me tordais comme un damné sous les coups de boutoir qui à chaque fois m'ouvraient un peu plus le sphincter, la bouche grande ouverte je griffais les draps sous l'inexorable montée du bonheur qui me faisait sombrer de plus en plus.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec était en moi mais je voulais qu'il y reste indéfiniment tant le plaisir qu'il me procurait était grand, mon prose était en feu, j'avais atteint la plénitude rectale, je planais littéralement sous ses poussées de plus en plus violentes qui m'éclataient le fondement, mon bassin venait à la rencontre des assauts pour offrir encore plus mon rectum et mes hanches se levaient et ondulaient chaque fois que l'imposante biroute se fichait au tréfonds de mon antre béante, Pierre me pilonnait le derrière avec une régularité de métronome me faisant basculer totalement dans le plaisir, je ne vivais plus que pour et par l'énorme verge qui me forait les reins, Pierre me tringlait avec des "HAN" de bûcheron me décollant du lit chaque fois qu'il me plantait sa hampe turgescente au fond de mon canal tuméfié, le ventre musclé de mon amant claquait contre mes fesses enflammées me rendant fou de désir, il y avait longtemps que je n'avais subi une telle enculade, celui qui me montait me pinait merveilleusement, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon trou à vif, je voulais que ce priape crache sa semence pour éteindre le brasier qui me consumait mais je lui hurlai qu'il me démolisse encore plus le fion tant le fade que je prenais était immense, lâchant mes jambes qui allèrent reposer sur ses épaules il se mit à se ruer à une vitesse folle dans ma croupe me tenant fermement par les cuisses, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mais le traitement que mon amant m'affligeait était si bon que la bouche ouverte je me mis à bramer sans discontinuer, la tête ballottant de droite à gauche tant étaient violents les grands coups de boutoir que mon doux tourmenteur m'assenait, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de mon puits d'amour, Pierre éjacula en feulant, ses abondants jets de sperme crémeux m'inondèrent l'anus me provoquant un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers le fabuleux membre pour accen la pénétration et un hurlement strident pulsa de ma gorge puis je retombai lourdement sur la couche, les yeux clos, savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je repris conscience de la réalité, je m'aperçus que mon mec était encore fiché entre mes fesses, je lui souris et lui demandai "Ça tu as plu ?
- Super, jamais je n'ai vu un homme comme toi.
- Il faut dire que tu y es pour quelque chose, j'ai pris un pied magnifique.
- Je m'en suis aperçu, pendant un moment j'ai cru que j'enculai une gonzesse ce qui est super avec toi, c'est qu'on prend un plaisir fou mais qu'en plus on a des réactions de ta part qui sont celles d'une femelle.
- Je sais, c'est pour ça que tous ceux avec qui j'ai baisé ont toujours voulu me revoir, mais crois-moi il y avait longtemps que je n'avais pas joui de la sorte, tu as une bite extraordinaire et tu sais bien t'en servir.
- Je te remercie.
- D'ailleurs je vois que tu n’as pas encore débandé.
- Non mais je vais arrêter là et me réserver pour cette nuit qui d'après ce que je viens de voir va être mémorable.
- Mais si tu veux tu peux encore tirer un coup.
- Non, ton cul a besoin de se reposer à cause de ce qu'il a subi la nuit passée, quelques heures de plus lui auront rendu toute son élasticité.
- D'accord, comme tu veux.
- Bon allons prendre une douche".
Pierre me décula et partit en direction de la salle de bains où je le rejoignis un peu plus tard.
Après nous être lavés, nous allâmes au salon où nous parlâmes de choses et d'autres jusque vers 7 heures où je partis me transformer en femme en prévision de la soirée.
Vers 8 heures je sortis de la pièce, j'avais choisi une perruque blonde mi longue qui faisait ressortir ma peau halée et mes yeux marron foncé que j'avais fardés et sur lesquels j'avais posé des faux cils très longs, la bouche bien dessinée, les lèvres peintes d'un rouge carmin ainsi que du fond de teint sur les joues et des longs faux ongles vernis rouge complétaient mon maquillage, sur mon torse j'avais mis deux faux seins tenant à l'aide de ventouses.
Vêtu de sous-vêtements de dentelle blanche et de bas résilles, j'avais opté pour une minijupe rouge qui me moulait faisant ressortir ma croupe rebondie et un corsage blanc ainsi que des hauts talons, une veste blanche et petit sac à main terminaient ma mise.
Je me regardai dans la glace et je vis avec plaisir qu’avec mes hauts-talons, j’étais très cambré ce qui faisait ressortir mon petit cul, c’était ravissant.
Avant d’aller au salon, je m’exerçais à marcher avec mes hauts talons dans le couloir et surprise je m’y fis très bien. J’avais l’impression d’avoir porté ce genre de chaussure toute ma vie.
Quand j'entrai dans le salon, Pierre me regarda stupéfait "Ahurissant, vraiment je n'en crois pas mes yeux, si je ne savais pas que c'est toi, je crois que je te demanderais qui tu es. Et dire que tu n’avais jamais fait ça !.
- Ça va, ça te plaît ?
- Super, tu es choutte à croquer.
- Si je te plais alors je suis content.
- Oh oui tu me plais, allez allons-y, il est l'heure d'allermanger".
Nous allâmes dans un beau restaurant sur les bords de l'OISE, mon entrée d'une démarche chaloupée fit sensation, les regards des mâles présents se posèrent sur moi, Pierre s'en aperçut et me glissa à l'oreille "tu fais un sacré effet".
Le dîner fur exquis, vers 10 heures nous partîmes dans une boite de nuit située à ERAGNY-NEUVILLE où nous dansâmes jusqu'à 3 heures du matin, pendant une longue série de slow où nous étions tendrement enlacés, je sentis contre mon bas-ventre la grosse verge de mon ami, en l'embrassant dans le cou je lui susurrais "Oh là là, on dirait que tu es en forme.
- Oh oui, tu vas voir tout à l'heure je vais bien te faire jouir.
- Mais j'y compte bien" répondis-je en glissant ma jambe dans son entre jambes pour lui caresser le sexe de ma cuisse, profitant de la pénombre autour de nous Pierre posa ses paumes sur mes fesses et les pressa me faisant gémir.
Vers 3 heures et demie, nous étions de retour à la maison, mon amant me prit par la main et m'emmena jusqu'au pas de la porte de la chambre qu'il me fit passer en me portant dans ses bras, il me déposa au pied du lit et m'enlaçant tendrement posa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand il se détacha de moi, j'avais le souffle court et les joues empourprées.
Lentement mon ami dégrafa mon corsage tout en me couvrant le visage de baisers, je me collai à lui et sentis sa bite tendue comme un arc contre mon ventre, mon homme m'embrassa dans le cou, la tête rejetée en arrière et les yeux mi clos je savourai les chaudes bouffées de désir langoureuses qui montaient en moi sous les légers attouchements buccaux.
La bouche avide de mon amant me suçotait le torse alors que ses mains expertes massaient ma croupe enfiévrée me faisant frémir, au bout de quelques instants il me fit asseoir sur le lit et s'agenouillant ôta mes chaussures puis m'allongeant à plat ventre il entreprit de me masser la nuque, après plusieurs minutes de ce doux traitement, je me décontractai complètement, les doigts habiles de mon homme courraient le long de ma colonne vertébrale m'arrachant de lourds gémissements.
Me laissant frémissant il m'enleva ma jupe et fit glisser ma petite culotte le long de mes cuisses, sa langue râpeuse se posa sur la chair tétanisée de mon dos et descendit jusqu'à la naissance du sillon de mes fesses brûlantes puis de ses mains il écarta mes deux lobes charnus et vint titiller mon oeillet, électrisé par ce baiser lingué qu'il échangeait avec mon anus je me cambrais pour m'offrir plus encore à cette tendre caresse, sous ses agiles coups de langue mon anneau ne fut pas long à s'ouvrir m'expirant un profond soupir de bonheur.
Longtemps mon amant continua à m'explorer tout le corps, aucune parcelle n'était oubliée, j'avais la peau si sensible que le moindre contact me faisait frétiller.
Tout mon être était tétanisé, ayant les cuisses écartées au maximum je voulais que son pénis me pénètre, qu'il crache en moi sa liqueur qui elle seule pouvait éteindre le brasier qui me ravageait, je le suppliai pour qu'il me prenne mais sourd à mes paroles il continuait à pratiquer sur moi ses délicieux sévices qui annonçaient un plaisir somptueux.
Je ne savais plus depuis combien de temps ses mains expertes et sa bouche avide m'effeuillaient, c'est alors qu'un spasme foudroyant explosa en moi, mon corps s'arqua et un "aaaaaahhhh
aaaaaaahhhhhhhhh" de plaisir s'échappa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas flottant dans une demi inconscience.
Quand je rouvris les yeux, Pierre assis à mes côtés me demanda "Ça t’as plu ?
- Oh oui, mais je suis en feu, je veux que tu me prennes.
- Bien sur que je vais te prendre, mais avant c'est toi qui va me déshabiller".
Je me mis à genoux et en un tour de main, je dévêtis l'homme à qui je désirai donner mon corps tremblant de bonheur, son formidable phallus pointait vers moi, son énorme gland vermillon brillant de sève, je me penchai vers la fabuleuse tête et prenant ses testicules gonflés de semence dans les paumes de mes mains je me mis à porter de rapides coups de langue sur le priape qui sous l'effet de cette caresse se redressa et se tendit encore.
Mon mec me prit dans ses bras et me renversa sur la couche, sa bouche gourmande écrasa la mienne et sa main partit entre mes cuisses où deux de ses doigts me déflorèrent le sphincter et se mirent à aller et venir me faisant frissonner, bientôt un troisième puis un quatrième doigt inquisiteur rejoignirent les deux premiers, pendant ce temps Pierre continuait à butiner ma bouche offerte.
Le désir quelque peu calmé se ranima et envahit mon corps enflammé, sous l'effet des assauts des ses doigts qui me foraient les reins je me mis à onduler du cul me soulevant chaque fois qu'il les enfonçait au plus profond de mon être, mais ce que je voulais fiché au fond de mon rectum c'était cette monstrueuse verge qui palpitait contre ma hanche.
Voyant à mes réactions que le prélude avait assez duré, mon amant me retourna et plia mes jambes sous mon corps de telle sorte que je me retrouvai à genoux reposant sur les avant bras, il s'agenouilla derrière mon fessier en l'air et posa son fabuleux membre contre ma corolle offerte, les gouttes de semence translucide perlant de son méat lubrifièrent l'entrée de mon orifice affamé, me prenant aux hanches mon homme commença à peser sur mon fondement, quand son magnifique gland écarta mes chairs frémissantes, je ne pus m'empêcher de pousser un timide cri de douleur, mon ami s'arrêta me laissant m'habi au formidable calibre de sa virilité puis peu à peu centimètre par centimètre il m'enfessa totalement.
Quand il fut entièrement en moi, j'avais les larmes aux yeux tant ce gigantesque pénis roide m'écartelait, pendant plusieurs minutes mon amant resta immobile et petit à petit je sentis mon anneau se décontracter et enfin céder complètement alors lentement, Pierre commença à me sodomiser m'arrachant à chaque passage des petits cris de souffrance qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.
Sous les coups de boutoir répétés de mon homme mon tunnel se dilata et je me mis à ronronner mon bassin allant à la rencontre de sa merveilleuse hampe qui m'ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu'elle plongeait en moi jusqu'à la garde, mon plaisir était total je planais littéralement sous les coups de bite que mon ami m'assenait, il me possédait maintenant de toute la longueur de sa biroute la sortant de mon presque entièrement et la replongeant au fond de mon canal après m'avoir assoupli un peu plus la rondelle de son impressionnant gland, le plaisir explosait en moi par multitude partant de mon bas-ventre et montant par vagues successives vers mon visage me rendant fou de désir, je commençai à râler tout en roulant des hanches en cadence, le bonheur que me donnait ce pénis était tel que je devais mordre les draps pour ne pas hurler, seul comptait pour moi ce fabuleux sexe qui me pilonnait le derrière, mon mec les mains crispées sur ma taille me besognait de plus en plus vigoureusement m'éclatant totalement l'anus, j'avais atteint la plénitude rectale, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose me faisant sombrer un peu plus chaque fois que celle-ci se fichait entre mes fesses bouillantes.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me travaillait l'arrière-train mais le plaisir qu'il me donnait était si grandiose que je voulais qu'il reste dans ma grotte indéfiniment, la tête rejetée en arrière je bramais sous les assauts redoublés que mon amant me portait, je n'étais plus que jouissance, tout en moi appelait le mâle, je voulais qu'il se déverse en moi mais en même temps je voulais qu'il continue à me tringler jusqu'à ce qu'il me casse le cul totalement.
Pierre me défonçait à une allure folle avec des "HAN" de bûcheron, je me disais que si il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je ne voulais pas qu'il arrête, je hurlai maintenant sans discontinuer sous les puissants coups de queue que mon amant m'affligeait, j'avais perdu toute notion de la réalité, soudain mon amant me décula et me mit sur le dos, il s'allongea sur moi et m'encula d'un violent coup de reins me faisant gémir, je nouai mes jambes dans son dos et posai mes mains sur ses épaules, prenant appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller de sur le lit chaque fois qu'il me bourrait l'intimité, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, c'était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les épaules de mes ongles, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma tête ballottant de droite à gauche j'étais au septième ciel, sous ses virils coups de phallus j'avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.
A cet instant, s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Pierre déchargea en râlant, ses puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers mon amant pour accen la pénétration, mes ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur la couche bras et cuisses écartés et je perdis connaissance.
Je ne sais combien de temps je restais inconscient, et quand je rouvris les yeux Pierre était étendu à côté de moi fumant une cigarette, une main posée sur ma cuisse me souriant il me demanda "Ça va ?
- Oh oui, il y a bien longtemps qu'on ne m'a pas enculé de la sorte, j'ai joui superbement.
- Je m'en suis aperçu, regarde mes épaules, tu m'as arraché la peau.
- Je suis désolé, mais tu m'as vraiment rendu fou de plaisir.
- Ce n'est rien, ça prouve qu'au moins sur un point nous nous entendons bien au lit.
- Ça tu peux le dire.
- Alors ne crois-tu pas que nous deux on pourrait essayer ?
- Non, l'amour physique est une chose mais ce n'est pas tout dans la vie.
- Tu as raison j'avais le droit d'espérer.
- Bien sur, mais ce n'est pas un 'NON' définitif, sois patient peut-être.
- Oui j'attendrai. As-tu soif ?
- S'il te plaît, attends je vais y aller.
- Ça m'étonnerait que tu puisses marcher normalement, en ce moment tu dois avoir le trou en choux fleur.
- C'est vrai, il faut dire que tu as un drôle de calibre. Combien mesure-t-il ?
- 29 centimètres de long et 17 de tour.
- Effectivement, sans compter les dimensions du gland.
- Oui il est assez costaud.
- C'est le moins qu'on puisse dire, crois-moi au début dur dur !! J’ai payé cher.
- AH AH AH !! bon j'y vais que veux-tu ?
- Un jus d'orange.
- Il arrive ma choutte".
Le temps qu'il revienne, je me levai pour aller uriner, j'eus du mal à marcher, j'étais obligé de garder les jambes écartées, quand mon homme revint j'étais de nouveau sur le lit en train de fumer.
Nous bûmes en silence puis mon amant se leva et partit prendre une douche, quand il ressortit de la salle de bains un quart d'heure après, il s'allongea près de moi et se remit à me caresser.
Nous fîmes encore l'amour longuement et une fois de plus sous ses fabuleux coups de pine, je pris un fade somptueux, vers 6 heures nous nous endormîmes, j'étais rompu de fatigue et mon anus quoique complètement éclaté était comblé.
Je me réveillai vers 1 heure de l'après-midi, Pierre me porta mon déjeuner au lit, plus tard je me levai et vers 3 heures je partis chez moi, nous devions nous revoir le Mercredi soir pour dîner ensemble.

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